
Se demander pudiquement, par exemple, si l’idéologie – l’an passé les migrants, cette année Bilal Hassani – n’a pas quelque chose à voir dans le choix de la mélodie est formellement interdit.

L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.

Le pire (ou le meilleur) est que, même si Sophia Aram conspue ces gens-là, sans originalité, depuis des années, ils lui auraient fait bon accueil.
Alors que la mission parlementaire sur la loi bioéthique vient de se déclarer favorable à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes…

Les braves gens n’aiment décidément toujours pas que l’on suive une autre route qu’eux.

On n’en voit pas le fond mais on galope dans cette spirale suicidaire : fouette, Cochet !

Leur peine n’est pas un blanc-seing pour toutes les élucubrations.

D’aucuns appelleraient cela l’émergence d’une contre-culture.

Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.

Voici donc les défauts que se reconnaissent les proches du gouvernement. Cela sent l’examen de conscience impitoyable.

Le gilet jaune fait mentir Serge Lama, dont il apprécie pourtant sûrement le talent : cocu, mais pas content.

Fiorina, 20 ans, étudiante en philosophie à Amiens, qui manifestait pour la première fois, a perdu un œil.

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.

Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.

Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.

Ils tiennent sur les doigts d’une seule main, et encore, celle d’un ectrodactyle…

Si l’agression de cette équipe de BFM TV est évidemment absolument condamnable, elle en dit long sur l’état de délitement du lien entre la presse et les Français.

Il faut peut-être dire à Marlène Schiappa d’arrêter de jouer avec les allumettes, n’est-ce pas ?
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur

Face à votre gilet ensoleillé, les petites coquetteries vestimentaires de FI paraissent bien conventionnelles.

Ces religieuses semblent sorties d’un film de Louis de Funès, d’une douce France dont ils sont nostalgiques et que l’on n’appelait pas encore, alors, la France périphérique.

Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.


Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.

C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.

Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !

Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.

Se demander pudiquement, par exemple, si l’idéologie – l’an passé les migrants, cette année Bilal Hassani – n’a pas quelque chose à voir dans le choix de la mélodie est formellement interdit.

L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.

Le pire (ou le meilleur) est que, même si Sophia Aram conspue ces gens-là, sans originalité, depuis des années, ils lui auraient fait bon accueil.
Alors que la mission parlementaire sur la loi bioéthique vient de se déclarer favorable à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes…

Les braves gens n’aiment décidément toujours pas que l’on suive une autre route qu’eux.

On n’en voit pas le fond mais on galope dans cette spirale suicidaire : fouette, Cochet !

Leur peine n’est pas un blanc-seing pour toutes les élucubrations.

D’aucuns appelleraient cela l’émergence d’une contre-culture.

Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.

Voici donc les défauts que se reconnaissent les proches du gouvernement. Cela sent l’examen de conscience impitoyable.

Le gilet jaune fait mentir Serge Lama, dont il apprécie pourtant sûrement le talent : cocu, mais pas content.

Fiorina, 20 ans, étudiante en philosophie à Amiens, qui manifestait pour la première fois, a perdu un œil.

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.

Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.

Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.

Ils tiennent sur les doigts d’une seule main, et encore, celle d’un ectrodactyle…

Si l’agression de cette équipe de BFM TV est évidemment absolument condamnable, elle en dit long sur l’état de délitement du lien entre la presse et les Français.

Il faut peut-être dire à Marlène Schiappa d’arrêter de jouer avec les allumettes, n’est-ce pas ?
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur

Face à votre gilet ensoleillé, les petites coquetteries vestimentaires de FI paraissent bien conventionnelles.

Ces religieuses semblent sorties d’un film de Louis de Funès, d’une douce France dont ils sont nostalgiques et que l’on n’appelait pas encore, alors, la France périphérique.

Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.


Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.

C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.

Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !

Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
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