
Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.

Le RN se retrouve dans une situation électorale idéale, un alignement des planètes historique pour lui. Non seulement il progresse fortement, devenant de fait le pivot d’une nouvelle majorité et un parti de gouvernement, mais il se paie le luxe d’avoir des alliés.

Une image fait le tour du monde : l’incendie de la porte séculaire du palais Rohan, l’hôtel de ville de Bordeaux.

Les sondeurs de l’IFOP constatent que cette impopularité grignote désormais le noyau dur de la Macronie.

On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.

Imaginez une seconde un homme politique de droite dire cela. Mélenchon, lui, a le monopole de l’usage de certains mots.

Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !

Les gesticulations anti-trottinettes de Clément Beaune, tout comme celles d’Anne Hidalgo, ne sont qu’un premier round de leur précampagne municipale. C’est indécent, en particulier pour les famille endeuillées.

Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.

Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».

La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».

D’autres signes dessinent un alignement des planètes pour Marine Le Pen. Jupiter décroche et l’enquête mensuelle du JDD enregistre un nouvel affaissement de la popularité d’Emmanuel Macron, à son plus bas niveau depuis trois ans : 32 % seulement.

Pas sûr qu’un consensus comparable puisse naître pour lutter contre un autre animal qui envahit nos villes, et plus particulièrement le Grand Lyon : les chats. Oui, les chats ! Les chats errants, bien sûr…

Quelle que soit l’issue du conflit, il aura des conséquences politiques.

Redessiner la carte de France, il n’y a rien de plus jouissif quand on du mal à la gouverner.

C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.

Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.

Il paraît que l’exécutif a été « surpris » par l’ampleur de la mobilisation de jeudi contre sa réforme des retraites. Étrange… Ces gens sont-ils à ce point coupés du réel ?

Ce refus d’accéder aux exigences de Kiev qui réclame 300 chars Leopard marque-t-il un tournant ?

Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.

Cette crise va toucher des millions d’entre nous, puisque, selon Sandrine Beaufils, il y a environ 560 000 logements classés G en Ile de France. Je vous laisse ajouter les E, les F, et ceux de la France entière…

Comme porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire n’aura tenu que quelques semaines. Comme ministre des PME, c’est peut-être déjà trop, non ?

Ce vendredi, on apprend que les impératifs familiaux invoqués par Jean Rottner n’étaient que le joli ruban d’un très joli cadeau professionnel pour lequel l’élu a abandonné une présidence de région.

Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.

Un enjeu aussi urgent, autant économique que civilisationnel, mérite en effet plus que de belles paroles.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.

Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.

Le RN se retrouve dans une situation électorale idéale, un alignement des planètes historique pour lui. Non seulement il progresse fortement, devenant de fait le pivot d’une nouvelle majorité et un parti de gouvernement, mais il se paie le luxe d’avoir des alliés.

Une image fait le tour du monde : l’incendie de la porte séculaire du palais Rohan, l’hôtel de ville de Bordeaux.

Les sondeurs de l’IFOP constatent que cette impopularité grignote désormais le noyau dur de la Macronie.

On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.

Imaginez une seconde un homme politique de droite dire cela. Mélenchon, lui, a le monopole de l’usage de certains mots.

Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !

Les gesticulations anti-trottinettes de Clément Beaune, tout comme celles d’Anne Hidalgo, ne sont qu’un premier round de leur précampagne municipale. C’est indécent, en particulier pour les famille endeuillées.

Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.

Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».

La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».

D’autres signes dessinent un alignement des planètes pour Marine Le Pen. Jupiter décroche et l’enquête mensuelle du JDD enregistre un nouvel affaissement de la popularité d’Emmanuel Macron, à son plus bas niveau depuis trois ans : 32 % seulement.

Pas sûr qu’un consensus comparable puisse naître pour lutter contre un autre animal qui envahit nos villes, et plus particulièrement le Grand Lyon : les chats. Oui, les chats ! Les chats errants, bien sûr…

Quelle que soit l’issue du conflit, il aura des conséquences politiques.

Redessiner la carte de France, il n’y a rien de plus jouissif quand on du mal à la gouverner.

C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.

Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.

Il paraît que l’exécutif a été « surpris » par l’ampleur de la mobilisation de jeudi contre sa réforme des retraites. Étrange… Ces gens sont-ils à ce point coupés du réel ?

Ce refus d’accéder aux exigences de Kiev qui réclame 300 chars Leopard marque-t-il un tournant ?

Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.

Cette crise va toucher des millions d’entre nous, puisque, selon Sandrine Beaufils, il y a environ 560 000 logements classés G en Ile de France. Je vous laisse ajouter les E, les F, et ceux de la France entière…

Comme porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire n’aura tenu que quelques semaines. Comme ministre des PME, c’est peut-être déjà trop, non ?

Ce vendredi, on apprend que les impératifs familiaux invoqués par Jean Rottner n’étaient que le joli ruban d’un très joli cadeau professionnel pour lequel l’élu a abandonné une présidence de région.

Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.

Un enjeu aussi urgent, autant économique que civilisationnel, mérite en effet plus que de belles paroles.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.
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