
Ceci est un pur produit du « en même temps ».

Samedi 14 mars 2020 : les Français écoutaient avec stupeur le Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, annoncer la fermeture des bars, restaurants, commerces, etc.

Mais comment ne pas saluer, au milieu du flot de nos récriminations, de nos doutes et des nuages qui s’amoncellent, cette décision à l’égard des personnes âgées qui refait entrer un peu d’humanité dans les EHPAD.

Il n’y a pas photo : le grand absent de la rencontre d’Ur, chez Abraham, c’était bien Abraham.

Un peu plus qu’un simple « éditorialiste à succès ».

Quatre ans après, pour beaucoup, l’opération a viré à l’arnaque.

Incontestablement, Éric Zemmour peut compter sur un noyau dur de partisans déterminés, mais si sa candidature venait à se concrétiser, sur une coalition d’adversaires qui ne le seraient pas moins.
Alors, dans huit à dix jours, « resserrement » ou « relâchement » ? J’ai déjà ma petite idée.

Mais il est un autre bouleversement que nous n’avions même pas remarqué : l’absence de résultats.

La stratégie fondée sur l’abstention de la gauche ne correspond pas à sa tradition électorale. C’est un fait que l’électeur de gauche est toujours beaucoup plus civique que l’électeur de droite. Beaucoup plus légitimiste et docile aux consignes, aussi.

La dimension grossièrement électoraliste de l’intervention n’aura échappé à personne…

Si on compte bien, dans la galaxie LR, on devrait arriver à une dizaine de prétendants.

Elle raconte également le grand basculement qu’elle a aussi vécu, le repli communautariste, la disparition des Français et, donc, de la France de son univers quotidien…

Gérard Larcher se démultiplie dans les médias…

Ce que la potentielle victoire de Marine Le Pen dans ce « sondage des 48 % » révèle, une fois de plus, c’est l’extrême affaiblissement d’Emmanuel Macron et l’absence de figures pour représenter la gauche d’un côté et LR de l’autre.

Olivier Duhamel était un visiteur du soir et du jour très actif de la Macronie.

Nous sommes au pays de Descartes : les Français veulent savoir. Et avec Gabriel Attal, le compte n’y est pas.

A la défiance majeure des classes populaires s’ajoute, pour Emmanuel Macron et son équipe, celle de ses propres troupes.

Toute la Gaule est passée sous domination… Toute ? Non !

Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
On a l’impression qu’à l’université aussi, lieu de la réflexion, de la critique et, souvent, de la révolte, ce virus, avec le matraquage permanent et le chantage au « care », a anesthésié tout sursaut vital.

Sous Emmanuel Macron, l’exceptionnel a tendance à se banaliser.

On assiste, ces jours-ci, à d’étranges renversements de la part des oppositions à la stratégie du gouvernement français.

Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.

Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.

Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».

La restauration laisse des milliers d’employés et de patrons sur le carreau du fait de l’explosion des factures

En Macronie, c’est Noël et jour de l’An en même temps…

Ceci est un pur produit du « en même temps ».

Samedi 14 mars 2020 : les Français écoutaient avec stupeur le Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, annoncer la fermeture des bars, restaurants, commerces, etc.

Mais comment ne pas saluer, au milieu du flot de nos récriminations, de nos doutes et des nuages qui s’amoncellent, cette décision à l’égard des personnes âgées qui refait entrer un peu d’humanité dans les EHPAD.

Il n’y a pas photo : le grand absent de la rencontre d’Ur, chez Abraham, c’était bien Abraham.

Un peu plus qu’un simple « éditorialiste à succès ».

Quatre ans après, pour beaucoup, l’opération a viré à l’arnaque.

Incontestablement, Éric Zemmour peut compter sur un noyau dur de partisans déterminés, mais si sa candidature venait à se concrétiser, sur une coalition d’adversaires qui ne le seraient pas moins.
Alors, dans huit à dix jours, « resserrement » ou « relâchement » ? J’ai déjà ma petite idée.

Mais il est un autre bouleversement que nous n’avions même pas remarqué : l’absence de résultats.

La stratégie fondée sur l’abstention de la gauche ne correspond pas à sa tradition électorale. C’est un fait que l’électeur de gauche est toujours beaucoup plus civique que l’électeur de droite. Beaucoup plus légitimiste et docile aux consignes, aussi.

La dimension grossièrement électoraliste de l’intervention n’aura échappé à personne…

Si on compte bien, dans la galaxie LR, on devrait arriver à une dizaine de prétendants.

Elle raconte également le grand basculement qu’elle a aussi vécu, le repli communautariste, la disparition des Français et, donc, de la France de son univers quotidien…

Gérard Larcher se démultiplie dans les médias…

Ce que la potentielle victoire de Marine Le Pen dans ce « sondage des 48 % » révèle, une fois de plus, c’est l’extrême affaiblissement d’Emmanuel Macron et l’absence de figures pour représenter la gauche d’un côté et LR de l’autre.

Olivier Duhamel était un visiteur du soir et du jour très actif de la Macronie.

Nous sommes au pays de Descartes : les Français veulent savoir. Et avec Gabriel Attal, le compte n’y est pas.

A la défiance majeure des classes populaires s’ajoute, pour Emmanuel Macron et son équipe, celle de ses propres troupes.

Toute la Gaule est passée sous domination… Toute ? Non !

Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
On a l’impression qu’à l’université aussi, lieu de la réflexion, de la critique et, souvent, de la révolte, ce virus, avec le matraquage permanent et le chantage au « care », a anesthésié tout sursaut vital.

Sous Emmanuel Macron, l’exceptionnel a tendance à se banaliser.

On assiste, ces jours-ci, à d’étranges renversements de la part des oppositions à la stratégie du gouvernement français.

Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.

Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.

Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».

La restauration laisse des milliers d’employés et de patrons sur le carreau du fait de l’explosion des factures

En Macronie, c’est Noël et jour de l’An en même temps…
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