

Curieux timing que celui de l’information concernant un possible plan franco-saoudien d’exfiltration de ces individus.

La révolution culturelle woke, qui s’est imposée dans les universités, est le véritable incubateur de la haine.

35 % des Américains indiquaient, en octobre dernier, penser que Joe Biden avait fait quelque chose d’illégal.

Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.

La traque devrait commencer lorsque prendra fin la guerre dans la bande de Gaza.

En pratiquant la petite danse élyséenne du « en même temps », il est fort à craindre que Biden ne perde l’équilibre.

Cette fois-ci, l’accord bipartisan conclu in extremis la semaine dernière au Congrès pour éviter la paralysie de l’État fédéral (le shutdown) n’aura pas coûté son

Les thèmes phares de Trump lors du lancement de sa première campagne en 2015 se sont imposés depuis.

C’est à l’Iran que profite le crime.

Le Hamas mène une guerre psychologique et informationnelle visant à discréditer moralement l’État hébreu.

Autant dire que son élection a provoqué des réactions éruptives du côté des médias progressistes.

Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.

Face à l’horreur du terrorisme islamiste qui vient de frapper Israël, les mots de Joe Biden ont été forts.

Samedi dernier, Kevin McCarthy, le président républicain de la Chambre, était le héros du jour.

Les vidéos de l’ancienne vedette de Fox battent des records sur le réseau X (Twitter).

Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.

Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.

Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.

Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.

Bien loin d’avoir désarmé, les adversaires de Trump espèrent toujours le voir finir ses jours en prison.

Succès fulgurant pour une chanson dénonçant « ces hommes riches au nord de Richmond » qui « veulent tout contrôler ».

Dans la presse américaine, on analyse, on dissèque, on sonde l’étrange sortilège Trump.

Trump le proclame haut et fort : il n’abandonnera jamais sa « mission de sauver l’Amérique ».

La prochaine campagne présidentielle semble bien partie pour se dérouler dans les salles d’audience.

Les espoirs d’immunité se sont envolés et une épée de Damoclès reste bien vissée au-dessus de la campagne de Joe Biden.

Une jeunesse sacrifiée, celle des minorités reléguées, racisées, dominées, vraiment ?

Il y a une identification communautaire et clanique qui génère une solidarité d’abord victimaire puis vengeresse.

Le 8 juin dernier, le Wall Street Journal a révélé l’existence d’un « accord secret » conclu entre Pékin et La Havane

Curieux timing que celui de l’information concernant un possible plan franco-saoudien d’exfiltration de ces individus.

La révolution culturelle woke, qui s’est imposée dans les universités, est le véritable incubateur de la haine.

35 % des Américains indiquaient, en octobre dernier, penser que Joe Biden avait fait quelque chose d’illégal.

Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.

La traque devrait commencer lorsque prendra fin la guerre dans la bande de Gaza.

En pratiquant la petite danse élyséenne du « en même temps », il est fort à craindre que Biden ne perde l’équilibre.

Cette fois-ci, l’accord bipartisan conclu in extremis la semaine dernière au Congrès pour éviter la paralysie de l’État fédéral (le shutdown) n’aura pas coûté son

Les thèmes phares de Trump lors du lancement de sa première campagne en 2015 se sont imposés depuis.

C’est à l’Iran que profite le crime.

Le Hamas mène une guerre psychologique et informationnelle visant à discréditer moralement l’État hébreu.

Autant dire que son élection a provoqué des réactions éruptives du côté des médias progressistes.

Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.

Face à l’horreur du terrorisme islamiste qui vient de frapper Israël, les mots de Joe Biden ont été forts.

Samedi dernier, Kevin McCarthy, le président républicain de la Chambre, était le héros du jour.

Les vidéos de l’ancienne vedette de Fox battent des records sur le réseau X (Twitter).

Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.

Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.

Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.

Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.

Bien loin d’avoir désarmé, les adversaires de Trump espèrent toujours le voir finir ses jours en prison.

Succès fulgurant pour une chanson dénonçant « ces hommes riches au nord de Richmond » qui « veulent tout contrôler ».

Dans la presse américaine, on analyse, on dissèque, on sonde l’étrange sortilège Trump.

Trump le proclame haut et fort : il n’abandonnera jamais sa « mission de sauver l’Amérique ».

La prochaine campagne présidentielle semble bien partie pour se dérouler dans les salles d’audience.

Les espoirs d’immunité se sont envolés et une épée de Damoclès reste bien vissée au-dessus de la campagne de Joe Biden.

Une jeunesse sacrifiée, celle des minorités reléguées, racisées, dominées, vraiment ?

Il y a une identification communautaire et clanique qui génère une solidarité d’abord victimaire puis vengeresse.

Le 8 juin dernier, le Wall Street Journal a révélé l’existence d’un « accord secret » conclu entre Pékin et La Havane
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