
Face à l’emballement médiatique et politique, la parole se libère au sein de Sciences Po.

Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.

« À 53 ans, je n’ai jamais été féministe mais je vais le devenir »

Ces personnalités, parce que issues de l’immigration, devraient forcément encourager l’ouverture des frontières et accueillir généreusement tout étranger.

Derrière les épais murs de pierre de la cathédrale, c’est un chantier titanesque, invisible aux yeux des Parisiens, qui se développe depuis plus de trois ans.

Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe.

C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.

Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.

L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.

En seulement deux décennies, la proportion de citoyens belges d’origine belge n’a eu de cesse de diminuer : de 81,2 % en 2002, elle est aujourd’hui tombée à 66,6 %.

Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.

Bien qu’aucun chiffre officiel n’existe sur cette pratique encore illégale, on estime que 200 à 300 enfants nés par GPA arrivent en France chaque année.

« Les abus que J. K. a endurés sont au-delà du pardon », réalise E. J. Rosetta sur son compte Twitter.

Si l’apparition, certes rapide, des jeunes femmes voilées peut sembler anodine, elle s’inscrit en réalité dans la continuité d’anciens projets européens soutenant des initiatives proches de l’islam radical.

Et le ministre de préciser : « La France est, bien sûr, un choix parfait » pour retourner les migrants.

Ces derniers jours, la pression des militants de la cause trans s’est accentuée.

Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.

Loin de lutter contre les réseaux clandestins, la France, en se soumettant aux injonctions des associations pro-migrants, alimente le trafic des passeurs.

Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.

Derrière cette ambiance bon enfant se cacherait pourtant « une réunion islamiste au cœur de la Provence », écrit Stéphane Ravier.

Loin d’être neutres, ces nombreuses subventions publiques viennent alimenter l’immigration clandestine.

Un passif qui ne semble pas déranger Carlos Bilongo.

Ces pseudo-révolutionnaires brandissent la figure du migrant comme leur nouvel étendard politique pour détruire la France et son identité.

Le recrutement de clandestins n’inversera pas la situation, au contraire.

Dix ans déjà. Le 2 novembre 2012, La Manif pour tous, collectif d’associations opposées à la légalisation du mariage homosexuel, voyait le jour.

En quelques heures à peine, le calme village de Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, a vu débarquer près de 4.000 activistes (7.000, selon les organisateurs) cagoulés et vêtus d’un bleu de travail. Dans un autre registre, alors que la question écologique ne passionne plus les foules, d’autres activistes font le choix de la transgression permanente.

À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.

Un montant effarant qui rappelle que la France dépense des millions d’euros dans la gestion de l’immigration clandestine.

Face à l’emballement médiatique et politique, la parole se libère au sein de Sciences Po.

Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.

« À 53 ans, je n’ai jamais été féministe mais je vais le devenir »

Ces personnalités, parce que issues de l’immigration, devraient forcément encourager l’ouverture des frontières et accueillir généreusement tout étranger.

Derrière les épais murs de pierre de la cathédrale, c’est un chantier titanesque, invisible aux yeux des Parisiens, qui se développe depuis plus de trois ans.

Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe.

C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.

Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.

L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.

En seulement deux décennies, la proportion de citoyens belges d’origine belge n’a eu de cesse de diminuer : de 81,2 % en 2002, elle est aujourd’hui tombée à 66,6 %.

Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.

Bien qu’aucun chiffre officiel n’existe sur cette pratique encore illégale, on estime que 200 à 300 enfants nés par GPA arrivent en France chaque année.

« Les abus que J. K. a endurés sont au-delà du pardon », réalise E. J. Rosetta sur son compte Twitter.

Si l’apparition, certes rapide, des jeunes femmes voilées peut sembler anodine, elle s’inscrit en réalité dans la continuité d’anciens projets européens soutenant des initiatives proches de l’islam radical.

Et le ministre de préciser : « La France est, bien sûr, un choix parfait » pour retourner les migrants.

Ces derniers jours, la pression des militants de la cause trans s’est accentuée.

Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.

Loin de lutter contre les réseaux clandestins, la France, en se soumettant aux injonctions des associations pro-migrants, alimente le trafic des passeurs.

Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.

Derrière cette ambiance bon enfant se cacherait pourtant « une réunion islamiste au cœur de la Provence », écrit Stéphane Ravier.

Loin d’être neutres, ces nombreuses subventions publiques viennent alimenter l’immigration clandestine.

Un passif qui ne semble pas déranger Carlos Bilongo.

Ces pseudo-révolutionnaires brandissent la figure du migrant comme leur nouvel étendard politique pour détruire la France et son identité.

Le recrutement de clandestins n’inversera pas la situation, au contraire.

Dix ans déjà. Le 2 novembre 2012, La Manif pour tous, collectif d’associations opposées à la légalisation du mariage homosexuel, voyait le jour.

En quelques heures à peine, le calme village de Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, a vu débarquer près de 4.000 activistes (7.000, selon les organisateurs) cagoulés et vêtus d’un bleu de travail. Dans un autre registre, alors que la question écologique ne passionne plus les foules, d’autres activistes font le choix de la transgression permanente.

À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.

Un montant effarant qui rappelle que la France dépense des millions d’euros dans la gestion de l’immigration clandestine.
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