

La violoniste suisse Julie Berthollet, qui joua naguère au profit des migrants, a été victime cette semaine d’une agression sauvage dans le métro. Personne n’a bougé. Personne n’a levé la tête.

Dans les coulisses de ce spectacle pathétique, la Turquie, elle, a réussi à avancer ses pions.

Il faut écouter les philosophes, parfois. Invité le 26 juin sur Europe 1, le philosophe Alain Finkielkraut répondait à Mathieu Bock-Côté.

Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…

Décidément, la politique est l’art du compromis et, décidément aussi, la souplesse des macronistes est bien la seule chose qui force l’admiration…

Ce qui est inquiétant, dans cette histoire, c’est de se dire que si quelqu’un comme Hervé Le Bras prend acte d’un petit remplacement, c’est sans doute que le grand est beaucoup plus avancé que nous ne le croyons.

Considérer que Reconquête était un feu de paille relève du confortable désespoir bourgeois qui caractérise la droite.
Tout ou presque, dans la situation actuelle de la France, se trouve rassemblé dans cet événement sordide, qui nous fait une fois de plus passer pour des jambons.

La gauche est un poison mortel, mais elle crée.

Bref, revenu de l’oubli médiatique, Anasse Kazib est tenté de saisir tous les prétextes pour exister.

Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.

Ce qui est certain, c’est que l’enregistrement de l’émission de TF1 est davantage un miroir grossissant qu’un incident.

Si l’on regarde un peu plus loin, il y a une autre échéance qui aurait probablement besoin d’une forte dose d’inspiration divine…
Quatre prêtres et six diacres, qui allaient offrir leur vie au Christ, devront attendre. Ils sont ajournés sine die : quand c’est pour annoncer les mauvaises nouvelles, un peu de latin n’est pas interdit.

Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.

L’avalanche de plaintes, ainsi que la création d’une cellule de soutien psychologique par le club anglais qui semble ne pas désemplir, ne sont pas tout à fait « raccord » avec la façon dont le gouvernement français raconte l’histoire.

Le monde des influenceurs étant, semble-t-il, petit, il se trouve que notre ami Ibrahim était en Syrie (ou ailleurs, puisqu’à ma connaissance, rien n’est confirmé sur la localisation exacte) en compagnie d’une autre vedette des réseaux sociaux : Rayanne B.

Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.

Gloire aux soldats de Koenig. Que leur sacrifice et leur héroïsme bien français nous inspirent.

Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.

Vingt-six ans après la suspension de la conscription, aucun problème n’est réglé. On en a même ajouté quelques-uns.

L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.

On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.

La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.

On apprend finalement que Jérôme Peyrat, sentant qu’il n’était peut-être pas tout à fait sur une trajectoire ascendante, a décidé de se retirer de la course à la députation.

Évidemment, même s’il y a des invariants, comme on dit, l’air du temps a passé. Voyez le jury qui s’est formé cette année autour de Vincent Lindon, par exemple.

Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.

La violoniste suisse Julie Berthollet, qui joua naguère au profit des migrants, a été victime cette semaine d’une agression sauvage dans le métro. Personne n’a bougé. Personne n’a levé la tête.

Dans les coulisses de ce spectacle pathétique, la Turquie, elle, a réussi à avancer ses pions.

Il faut écouter les philosophes, parfois. Invité le 26 juin sur Europe 1, le philosophe Alain Finkielkraut répondait à Mathieu Bock-Côté.

Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…

Décidément, la politique est l’art du compromis et, décidément aussi, la souplesse des macronistes est bien la seule chose qui force l’admiration…

Ce qui est inquiétant, dans cette histoire, c’est de se dire que si quelqu’un comme Hervé Le Bras prend acte d’un petit remplacement, c’est sans doute que le grand est beaucoup plus avancé que nous ne le croyons.

Considérer que Reconquête était un feu de paille relève du confortable désespoir bourgeois qui caractérise la droite.
Tout ou presque, dans la situation actuelle de la France, se trouve rassemblé dans cet événement sordide, qui nous fait une fois de plus passer pour des jambons.

La gauche est un poison mortel, mais elle crée.

Bref, revenu de l’oubli médiatique, Anasse Kazib est tenté de saisir tous les prétextes pour exister.

Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.

Ce qui est certain, c’est que l’enregistrement de l’émission de TF1 est davantage un miroir grossissant qu’un incident.

Si l’on regarde un peu plus loin, il y a une autre échéance qui aurait probablement besoin d’une forte dose d’inspiration divine…
Quatre prêtres et six diacres, qui allaient offrir leur vie au Christ, devront attendre. Ils sont ajournés sine die : quand c’est pour annoncer les mauvaises nouvelles, un peu de latin n’est pas interdit.

Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.

L’avalanche de plaintes, ainsi que la création d’une cellule de soutien psychologique par le club anglais qui semble ne pas désemplir, ne sont pas tout à fait « raccord » avec la façon dont le gouvernement français raconte l’histoire.

Le monde des influenceurs étant, semble-t-il, petit, il se trouve que notre ami Ibrahim était en Syrie (ou ailleurs, puisqu’à ma connaissance, rien n’est confirmé sur la localisation exacte) en compagnie d’une autre vedette des réseaux sociaux : Rayanne B.

Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.

Gloire aux soldats de Koenig. Que leur sacrifice et leur héroïsme bien français nous inspirent.

Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.

Vingt-six ans après la suspension de la conscription, aucun problème n’est réglé. On en a même ajouté quelques-uns.

L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.

On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.

La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.

On apprend finalement que Jérôme Peyrat, sentant qu’il n’était peut-être pas tout à fait sur une trajectoire ascendante, a décidé de se retirer de la course à la députation.

Évidemment, même s’il y a des invariants, comme on dit, l’air du temps a passé. Voyez le jury qui s’est formé cette année autour de Vincent Lindon, par exemple.

Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.
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