La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».

Il y a plus grave que le fipronil : c’est la connerie. Et elle est contagieuse.

Ma mère avait préparé les bassines, les couteaux, le linge, et mon père des seaux, du bois, la chaudière. Les voisins arrivaient vers sept heures.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?

L’auteur de la pétition se félicite « qu’Emmanuel Macron ait rétropédalé, cela montre qu’il a été à l’écoute des citoyens ».

Aux USA se prépare une conférence qui doit permettre de vérifier s’il y a un lien entre la période de températures clémentes que l’homme connaît aujourd’hui et son activité industrielle.

La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.

Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre

Estimant que la « hollandisation de Macron est commencée », il prédit « une crise de régime ».
Jean-Marie Beuzelin revient sur la crise au Venezuela. Il analyse les causes et remet les pendules à l’heure.

Nouvel entrefilet dans la rubrique « Chiens de mécréants écrasés » de nos journaux subventionnés.

Et si, enfin, l’on disait la vérité ? Un Algérien en situation régulière, Hamou B., inconnu des services de police (mais est-ce rassurant ?) a foncé violemment sur nos soldats pour les tuer.

C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».

L’égalitarisme s’est plu à supprimer les distances, à nier les hiérarchies.

Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.

Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.

La représentante de la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA, droite nationaliste flamande) entend aujourd’hui se défaire de sa nationalité turque.
Ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance.
La déception de Philippe Bilger est celle de ne pas vivre en Utopie, dans un monde où la vie serait belle.
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !

La dame a des fantasmes. Au fond, quelque part, c’est rassurant.
La démocratie se trouve confrontée, dorénavant, à des problématiques qu’elle ne peut résoudre sans sortir de ses propres cadres.
Notre patrimoine demande d’énormes efforts pour sa préservation mais pas à n’importe quel prix.
Personne encore n’empêche officiellement les femmes de porter le short ou la robe de leur choix…
La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».

Il y a plus grave que le fipronil : c’est la connerie. Et elle est contagieuse.

Ma mère avait préparé les bassines, les couteaux, le linge, et mon père des seaux, du bois, la chaudière. Les voisins arrivaient vers sept heures.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?

L’auteur de la pétition se félicite « qu’Emmanuel Macron ait rétropédalé, cela montre qu’il a été à l’écoute des citoyens ».

Aux USA se prépare une conférence qui doit permettre de vérifier s’il y a un lien entre la période de températures clémentes que l’homme connaît aujourd’hui et son activité industrielle.

La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.

Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre

Estimant que la « hollandisation de Macron est commencée », il prédit « une crise de régime ».
Jean-Marie Beuzelin revient sur la crise au Venezuela. Il analyse les causes et remet les pendules à l’heure.

Nouvel entrefilet dans la rubrique « Chiens de mécréants écrasés » de nos journaux subventionnés.

Et si, enfin, l’on disait la vérité ? Un Algérien en situation régulière, Hamou B., inconnu des services de police (mais est-ce rassurant ?) a foncé violemment sur nos soldats pour les tuer.

C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».

L’égalitarisme s’est plu à supprimer les distances, à nier les hiérarchies.

Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.

Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.

La représentante de la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA, droite nationaliste flamande) entend aujourd’hui se défaire de sa nationalité turque.
Ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance.
La déception de Philippe Bilger est celle de ne pas vivre en Utopie, dans un monde où la vie serait belle.
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !

La dame a des fantasmes. Au fond, quelque part, c’est rassurant.
La démocratie se trouve confrontée, dorénavant, à des problématiques qu’elle ne peut résoudre sans sortir de ses propres cadres.
Notre patrimoine demande d’énormes efforts pour sa préservation mais pas à n’importe quel prix.
Personne encore n’empêche officiellement les femmes de porter le short ou la robe de leur choix…
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