Il paraît que notre président réfléchit. Il consulte, mais n’a confiance qu’en lui-même et veut se faire, sur ce sujet, sa propre religion.
Malgré cette résistance admirable, le Donbass a besoin de notre aide.

Après l’attentat de samedi, dans le quartier de l’Opéra à Paris, qui a fait un mort, plus l’assaillant, et quatre blessés, Nicolas Dupont-Aignan réagit au
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.

Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
Au moins le gouvernement aura donné des gages à la bien-pensance.
Comment se fait-il que deux mois après les faits, aucun gouvernement, aucun média mainstream ne s’étonnent bruyamment en réclamant ces « preuves » qui jouent à l’Arlésienne ?
Trois attentats suicides ont été commis, dimanche, contre des églises de la ville de Surabaya, en Indonésie – pays de près de 270 millions d’habitants,
Pour Douglas Murray, il semble y avoir une prise de conscience des gouvernants et certains faits sont désormais mis en avant, alors qu’ils étaient systématiquement étouffés autrefois.

Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.

Il est des morts qui ne font, hélas, pas la une. Pourtant, ils mériteraient des égards auxquels d’autres ont droit parce que nettement plus populaires.

La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.

Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.

La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.

La République en Marche sur la Tête, vous connaissez ?
Au lendemain de l’attentat islamiste commis par Khamzat Azimov, un citoyen français d’origine tchétchène, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire. Samedi soir, à

En juin 1940, la France était-elle gouvernée de Londres ou de Vichy ? Mieux, à cette date, la France avait-elle à sa tête deux chefs d’Etat ?

Comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ?

Les incantations, jérémiades et autres appel au sang-froid des Macron, Philippe et Collomb ont finalement les mêmes accents que ceux des Hollande, Valls et Cazeneuve. Une rengaine lassante qui ne passe plus.

Sachons que protéger notre planète, la garder propre est possible et qu’il existe des sources d’énergie renouvelables éternelles.

Marlène Schiappa a déclaré qu’elle s’était rendue à Trappes car elle voulait savoir ce qu’il en était là-bas de l’égalité femmes-hommes. Maintenant elle sait !

Noura Hussein Hammad, mariée de force à l’âge de 16 ans, a ainsi été condamnée à mort à l’issue de son procès pour avoir poignardé son mari.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.
Une fois de plus, les Français payent la faiblesse d’un programme politique dont les lacunes en matière de sécurité et de défense avaient été soulignées lors de la campagne présidentielle de Macron.

« Hors de danger » devenait le refrain et comme le bilan de ce nouvel attentat.

Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Il paraît que notre président réfléchit. Il consulte, mais n’a confiance qu’en lui-même et veut se faire, sur ce sujet, sa propre religion.
Malgré cette résistance admirable, le Donbass a besoin de notre aide.

Après l’attentat de samedi, dans le quartier de l’Opéra à Paris, qui a fait un mort, plus l’assaillant, et quatre blessés, Nicolas Dupont-Aignan réagit au
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.

Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
Au moins le gouvernement aura donné des gages à la bien-pensance.
Comment se fait-il que deux mois après les faits, aucun gouvernement, aucun média mainstream ne s’étonnent bruyamment en réclamant ces « preuves » qui jouent à l’Arlésienne ?
Trois attentats suicides ont été commis, dimanche, contre des églises de la ville de Surabaya, en Indonésie – pays de près de 270 millions d’habitants,
Pour Douglas Murray, il semble y avoir une prise de conscience des gouvernants et certains faits sont désormais mis en avant, alors qu’ils étaient systématiquement étouffés autrefois.

Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.

Il est des morts qui ne font, hélas, pas la une. Pourtant, ils mériteraient des égards auxquels d’autres ont droit parce que nettement plus populaires.

La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.

Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.

La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.

La République en Marche sur la Tête, vous connaissez ?
Au lendemain de l’attentat islamiste commis par Khamzat Azimov, un citoyen français d’origine tchétchène, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire. Samedi soir, à

En juin 1940, la France était-elle gouvernée de Londres ou de Vichy ? Mieux, à cette date, la France avait-elle à sa tête deux chefs d’Etat ?

Comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ?

Les incantations, jérémiades et autres appel au sang-froid des Macron, Philippe et Collomb ont finalement les mêmes accents que ceux des Hollande, Valls et Cazeneuve. Une rengaine lassante qui ne passe plus.

Sachons que protéger notre planète, la garder propre est possible et qu’il existe des sources d’énergie renouvelables éternelles.

Marlène Schiappa a déclaré qu’elle s’était rendue à Trappes car elle voulait savoir ce qu’il en était là-bas de l’égalité femmes-hommes. Maintenant elle sait !

Noura Hussein Hammad, mariée de force à l’âge de 16 ans, a ainsi été condamnée à mort à l’issue de son procès pour avoir poignardé son mari.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.
Une fois de plus, les Français payent la faiblesse d’un programme politique dont les lacunes en matière de sécurité et de défense avaient été soulignées lors de la campagne présidentielle de Macron.

« Hors de danger » devenait le refrain et comme le bilan de ce nouvel attentat.

Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
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